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Mobilisation des forces : 600 policiers sont déployés ; les hôpitaux d'Ashdod, Ashkelon, Rehovot et Beer Yaakov ont été placés en état d'alerte. Les services de renseignements de la police israélienne ont affirmé – sans la moindre preuve – que les militants à bord de la flottille (qui ont réitéré à plusieurs reprises leur engagement total en faveur de la non-violence) pourraient résister « par la force ».
➤ Pression politique : La Première ministre italienne Giorgia Meloni a exhorté les organisateurs à ne pas tenter de « briser le blocus naval [israélien] », les accusant de compromettre le « plan de paix » de Trump. Rome a ensuite retiré son escorte navale. Les organisateurs ont condamné cette manœuvre, la qualifiant de « lâcheté déguisée en diplomatie », et ont promis de poursuivre : « Il est bien plus dangereux de garder le silence face au génocide, à la famine et aux châtiments collectifs », a déclaré GSF.