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Mobilisation des forces : 600 policiers sont déployés ; les hôpitaux d'Ashdod, Ashkelon, Rehovot et Beer Yaakov ont été placés en état d'alerte. Les services de renseignements de la police israélienne ont affirmé – sans la moindre preuve – que les militants à bord de la flottille (qui ont réitéré à plusieurs reprises leur engagement total en faveur de la non-violence) pourraient résister « par la force ».

➤ Pression politique : La Première ministre italienne Giorgia Meloni a exhorté les organisateurs à ne pas tenter de « briser le blocus naval [israélien] », les accusant de compromettre le « plan de paix » de Trump. Rome a ensuite retiré son escorte navale. Les organisateurs ont condamné cette manœuvre, la qualifiant de « lâcheté déguisée en diplomatie », et ont promis de poursuivre : « Il est bien plus dangereux de garder le silence face au génocide, à la famine et aux châtiments collectifs », a déclaré GSF.
texte noir sur fond blanc Mobilisation des forces : 600 policiers sont déployés ; les hôpitaux d'Ashdod, Ashkelon, Rehovot et Beer Yaakov ont été placés en état d'alerte. Les services de renseignements de la police israélienne ont affirmé – sans la moindre preuve – que les militants à bord de la flottille (qui ont réitéré à plusieurs reprises leur engagement total en faveur de la non-violence) pourraient résister « par la force ». ➤ Pression politique : La Première ministre italienne Giorgia Meloni a exhorté les organisateurs à ne pas tenter de « briser le blocus naval [israélien] », les accusant de compromettre le « plan de paix » de Trump. Rome a ensuite retiré son escorte navale. Les organisateurs ont condamné cette manœuvre, la qualifiant de « lâcheté déguisée en diplomatie », et ont promis de poursuivre : « Il est bien plus dangereux de garder le silence face au génocide, à la famine et aux châtiments collectifs », a déclaré GSF.
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RAPPORT | Israël ne permettra pas à la flottille Global Sumud de briser le blocus naval illégal de Gaza — source Médias hébraïques via X

Les médias israéliens Kan et N12 détaillent les préparatifs intensifs visant à arrêter la flottille de 45 bateaux transportant près de 500 militants de plus de 40 pays qui devraient atteindre les côtes de Gaza entre mercredi soir et jeudi matin – autour de la fête juive de Yom Kippour (du mercredi soir 1er octobre 2025 au jeudi soir 2 octobre 2025).

➤ Plans militaires : La marine et les commandos Shayetet 13 intercepteront les navires en mer, les ordonneront de revenir et les saisiront s'ils refusent. Des rapports hébreux indiquent que certains navires seront confisqués et d'autres délibérément coulés.

➤ Une prison et un tribunal spécial : Des centaines de militants détenus seront transférés au port d’Ashdod, puis à la prison de Ketziot, sous le contrôle de la police et des services pénitentiaires de Ben-Gvir. Ceux qui « obtempéreront » seront expulsés après la fin du jeûne (à partir de jeudi soir) ; ceux qui « résisteront » comparaîtront devant un tribunal spécial du ministère de l’Intérieur, installé au sein de la prison, plutôt que devant un tribunal civil.
texte noir sur fond blanc RAPPORT | Israël ne permettra pas à la flottille Global Sumud de briser le blocus naval illégal de Gaza — source Médias hébraïques via X Les médias israéliens Kan et N12 détaillent les préparatifs intensifs visant à arrêter la flottille de 45 bateaux transportant près de 500 militants de plus de 40 pays qui devraient atteindre les côtes de Gaza entre mercredi soir et jeudi matin – autour de la fête juive de Yom Kippour (du mercredi soir 1er octobre 2025 au jeudi soir 2 octobre 2025). ➤ Plans militaires : La marine et les commandos Shayetet 13 intercepteront les navires en mer, les ordonneront de revenir et les saisiront s'ils refusent. Des rapports hébreux indiquent que certains navires seront confisqués et d'autres délibérément coulés. ➤ Une prison et un tribunal spécial : Des centaines de militants détenus seront transférés au port d’Ashdod, puis à la prison de Ketziot, sous le contrôle de la police et des services pénitentiaires de Ben-Gvir. Ceux qui « obtempéreront » seront expulsés après la fin du jeûne (à partir de jeudi soir) ; ceux qui « résisteront » comparaîtront devant un tribunal spécial du ministère de l’Intérieur, installé au sein de la prison, plutôt que devant un tribunal civil.